« Je ne suis qu’un rat de bibliothèque », me déclara-t-il un jour. Qui songerait à se méfier sun vieil érudit tout rabourgri, puritain à lexcès, plongé du matin au soir dans des vieux livres saints? Ainsi complètemrnt rassurée, je laissai le rat de bibliothèque me ronger insidieusement le coeur. Il a certainement de bonnes intentions, me disais-je naïvement, pendant quil me dévorait tranquillement. Comment aurait-il pu en être autrement?